Le Pr Perronne s’est exprimé sur Sud-Radio… et ça décape !
Chère amie, cher ami,
Si vous n’avez pas vu la vidéo, elle est ici.
L'interview dure une heure environ.
Au départ, je souhaitais vous en proposer une simple synthèse, pour ceux qui n’auraient pas eu le temps d’écouter son intervention intégralement.
Mais, ce que dit Christian Perronne est si grave et si limpide, que j’ai souvent préféré vous retranscrire intégralement ce qu’il dit.
Pour vous, qui lisez cette lettre, qui vous soignez naturellement et qui restez attentifs à ce qui se passe dans le monde, les faits révélés n’apparaîtront peut-être pas comme totalement nouveaux, hélas.
La différence vient surtout de QUI s’exprime.
C’est l’un des hauts dignitaires du régime politico-médical qui nous qui dirige.
Comme, il le rappelle d’emblée, Christian Perronne :
C’est un homme du système.
Et pourtant, il tire à boulets rouges sur ce système chez André Bercoff, journaliste de Sud Radio.
Que lui est-il arrivé ?
Les mauvaises langues diront qu’il cherche à vendre son dernier livre paru chez Albin Michel : Y a t’il une erreur qu’ils n’ont pas commise ?
Le premier commentaire d’André Bercoff, lors de son interview est de dire qu’après un tel livre, la commission d’enquête parlementaire vis-à-vis du gouvernement n’est même plus nécessaire.
Les responsabilités semblent établies !
D’autres diront que Christian Perronne en a marre de la mainmise de l’industrie pharmaceutique sur sa profession et sur les institutions de ce pays.
En tout cas, saluons sa prise de risque.
Il raconte avoir été menacé, comme d’autres médecins, pour avoir soigné et guéri des patients hors protocole. Après ce qu’il a dit chez André Bercoff, le système politico-médical ne va plus le lâcher !
Chloroquine et Big Pharma
Après avoir énuméré les différentes institutions médicales qu’il a présidées ou auxquelles il a participé, il regrette :
“ Je ne comprends pas comment toutes ces institutions ont été manipulées (...) par l’industrie pharmaceutique pour nous mener dans une impasse terrible. ”
Sur la chloroquine et le Pr Didier Raoult :
“ Si la chloroquine avait été administrée, on aurait évité la mort 25 000 personnes. ”
(...)
“ Tous les pays qui ont utilisé de façon massive le traitement de Raoult, hydrochloroquine avec plus ou moins d’azithromycine : le Maroc, le Portugal, la Grèce, même les Etats-Unis qui ont un taux de mortalité très faible 6% contre la France à près de 20%, (...) même le Brésil, ont eu de bons résultats. ”
(...)
“ C’est hallucinant ce déni du succès du Pr Raoult. ”
A travers ses explications, Christian Perronne fait du rapport à la chloroquine, chez les décideurs et les médecins officiels, un révélateur de leurs LIENS avec l’industrie pharmaceutique :
“ Anthony Fauci qui est l’équivalent du Directeur de l’Inserm aux Etats-Unis, depuis le début est à fond contre la chloroquine : il est très lié à Gilead, à toute l’industrie pharmaceutique. ”
(...)
“ Fauci est totalement lié à l’Industrie pharmaceutique. ”
(...)
“ Cela m’évoque exactement ce que Olivier Véran a décidé dans son arrêté en disant qu’utiliser la chloroquine était très dangereux alors que ça marche super bien. Tous les pays qui l’ont utilisée ont des taux de mortalité très inférieurs aux autres. Il faut arrêter de dire des sornettes. ”
Christian Perronne poursuit en rappelant que Didier Raoult aura publié trois études montrant “sans aucun doute” l’efficacité de la chloroquine.
La première portait sur 24 patients, on s’est moqué de lui, la deuxième sur 1200 patients, on l’a critiqué, la troisième qui a été acceptée par l’éditeur, portera sur 3000 patients…
Personne n’a fait mieux en France.
Et dans chaque étude il est montré que le traitement hydrochloroquine + azithromycine prescrit en début de Covid-19, lorsque la maladie est encore modérée, fonctionne à 98% !
Perronne conclut :
“ C’est une honte, c’est immoral, de dire que l’étude de Raoult ne montre rien.
Les experts qui disent ça sont achetés par l’industrie pharmaceutique. C’est une honte nationale. ”
Le bilan de la France
Christian Perronne estime que le critère le plus pertinent pour jauger de l’efficacité des responsables politiques face à la crise est le taux de létalité, c’est à dire le nombre de morts sur le nombre de personnes infectées.
En France, il y a eu 150 000 personnes infectées et 30 000 morts environ.
Cela fait un taux de létalité de 20%.
Il estime que l’on aurait pu en éviter 25 000. Ce chiffre est revenu plusieurs fois dans l’interview.
D’après Christian Perronne, aux Etats-Unis ce taux est de 6%, au Maroc 3%, en Grèce moins de 5% et même au Brésil que l’on critique sans cesse, le taux est plus bas que celui de la France.
Son verdict :
“ La France est championne du monde du désastre. ”
Il rappelle que sur les masques le gouvernement a été incompétent.
On a détruit des masques soi-disant périmés et on a envoyé en Chine au mois de janvier 2020 ceux qui restaient en France pour aider les Chinois.
Résultat : les soignants ont dû faire face à la crise sanitaire sans le matériel adéquat alors que quelques années plus tôt, tout avait été mis en place pour faire face à ce type de situation !
Il compare également la gestion de crise entre Angela Merkel et Emmanuel Macron. En Allemagne, le gouvernement a été pragmatique. Même si les tests dits “PCR” n’étaient pas parfaits, les autorités ont donné leur aval pour qu’ils soient déployés.
Perronne précise :
“ En France, au jour d’aujourd’hui - vous vous rendez compte, on est au mois de juin ! - il y a toujours des laboratoires qui n’ont pas leur autorisation alors que leurs tests [PCR] sont parfaits soi-disant parce que l’Institut Pasteur ne les a pas homologués. ”
Exaspéré il ajoute :
“ On est dans un délire total avec cette administration surpuissante qui décide de tout. ”
Dépité, il conclut :
“ C’est la première fois de ma vie que j’ai honte pour mon pays. Je le dis publiquement. ”
Sociétés savantes, Big Pharma et lobbyistes
Christian Perronne en veut au gouvernement de ne pas l’avoir écouté en début de crise.
Il raconte :
“ Lorsque j’ai fait la pétition avec Philippe Douste Blazy pour défendre la chloroquine on a eu 500 000 signatures, ça n’a pas fait ciller notre président. [...] Olivier Véran a dit il faut attendre l’avis des sociétés savantes. ”
(...)
“ Les sociétés savantes sont complètement corrompues. Elles ont des centaines de milliers, voire de millions d’euros sur leurs comptes en banque qui viennent de l’industrie pharmaceutique. ”
(...)
“ C’est de la corruption qui a plongé des dizaines de milliers de Français dans la mort. ”
Lorsque André Bercoff évoque le “côté mafieux” de l’industrie pharmaceutique, Christian Perronne acquiesce et réclame un changement radical :
“ Il faut foutre un coup de pied dans la fourmilière et foutre en l’air tout ce système de décision en matière médicale avec tous ces journaux médicaux qui sont totalement corrompus y compris : le Lancet, le British Medical Journal, le Jama, le new England Journal of Medicine. ”
Il explique que la situation a empiré ces vingt dernières années, depuis la mondialisation.
Pour lui désormais :
“ Tout est contrôlé depuis Chicago, New York ou Sans Francisco.” (...). La corruption a été multipliée par 10. ”
Il se montre plus précis sur la corruption en France en rappelant que les liens d’intérêts des membres du Haut Conseil de Santé Publique n’ont pas été publiés avant que les avis de l’institution ne soient rendus sur la chloroquine.
Selon Perronne :
“ Les avis du HCSP sur la chloroquine étaient des avis fantoches. Il n’y a pas eu de vote. Les conflits d’intérêts n’ont pas été précisés. Il faut attaquer ces décisions. ”
Il ajoute encore :
“ Vraiment il faut mettre à plat tout le mode d’évaluation en santé. C’est pourri d’un bout à l’autre depuis 20 ans. Avec les grands journaux scientifiques qui publient des données foireuses financées par l’industrie.
Et tous mes jeunes collègues ils font leur carrière pour être professeur. Ils doivent suivent le système, publier dans ces journaux (...) c’est un cercle vicieux.
Evidemment tous les gens de l’Académie, les présidents des sociétés savantes [...] vont dire que je dis des horreurs. Mais c’est la réalité. Ils sont tous pourris. Il faut remettre tout cela à plat. Je ne peux pas faire cela tout seul. Il faut qu’il y ait des hommes politiques courageux qui viennent dans l’arène pour dire stop. Et vraiment mettre un stop à toute cette corruption. Il faut jeter dehors les lobbyistes à Bruxelles parce que l’industrie fait partie des premiers lobbies à Bruxelles. ”
Sur le vaccin et le traitement du Covid-19
A la fin de l’interview, Christian Perronne répond aux questions.
Sur le vaccin, il confirme qu’il n’est pas possible de fabriquer un vaccin sûr en si peu de temps.
Surtout, il affirme que l’épidémie est FINIE, qu’aucun vaccin n’est nécessaire. Il n’y aura pas de deuxième vague :
“ On va nous faire croire que c’est dangereux et qu’il faut tous vous faire vacciner alors que le vaccin n’est même pas prêt. C’est un délire total ! ”
Il rappelle que “l’OMS appartient à Bill Gates”, que l’un des collègues médecins travaillant pour l’OMS avait directement été payé par la Fondation Gates.
Liberté de prescrire, liberté de se soigner
Les dernières banderilles de Christian Perronne sont adressées au Conseil de l’ordre.
Il rappelle que cette institution a été créée sous le régime du Maréchal Pétain dans le but d’écarter les médecins juifs.
Et aujourd’hui, son seul objectif, avec l’Agence régionale de santé et la Caisse d’assurance maladie, semble être de terroriser les médecins.
Pour lui, le Covid-19 est un scandale plus grand que le sang contaminé.
Il insiste sur le fait que nos responsables politiques devraient passer devant le juge.
Son dernier conseil pour les patients face au Covid-19 est de se soigner clandestinement avec de la chloroquine ou de l’artemisia annua, deux remèdes interdits en France et autorisés un peu partout ailleurs.
Et voici la touche finale de Christian Perronne :
“ La France est le pays des droits de l’Homme, le pays de la liberté est devenu un pays où on ne peut plus rien faire. “
Cette interview pourrait être une très bonne nouvelle.
Si le fruit est à ce point pourri, il pourrait tomber de l’arbre.
Et nous pourrions ainsi espérer reconstruire un meilleur système, plus libre, plus transparent, moins téléguidé par l’industrie et ses actionnaires.
Car derrière, Big Pharma, il y a les fonds de pension qui gèrent les retraites des Américains, les banques…
Bref, il y a du pain sur la planche !
Naturellement vôtre,
Augustin de Livois
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Ce journal indépendant de droit américain(1er amendement de la constitution américaine),est aussi un LANCEUR d'ALERTE. A consommer sans modération pour votre plaisir. Frédéric Berger est un journaliste de Lumière. L'Echo des Montagnes est un journal de Lumière. voir Article 19 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques de l'ONU, et la déclaration universelle des droits de l'homme de 1948.